Physiologie du rire

“Les gens qui ne rient jamais ne sont pas des gens sérieux” (Alphonse Allais)

“Se gondoler, se poiler, se boyauter, éclater de rire, glousser, pouffer, rigolbocher, s’égayer, s’esclaffer, se bidonner, se dérider, se désopiler, se dilater la rate, se fendre la pêche, la poire, ou la pipe, se gausser, se gondoler, se marrer, se poiler, se réjouir, se rire, se tirebouchonner, se tordre, sourire, c’est s’offrir une thérapie gratuite ! Les études scientifiques ont démontré que le rire soulage, apaise, soigne et participe activement au processus de guérison. D’un point de vue physiologique, il libère les endorphines aux vertus antidouleur, calmantes ou euphorisantes, augmente la ventilation des poumons, diminue la pression artérielle, masse les viscères, favorisant ainsi le fonctionnement du foie et des intestins, et détend la musculature” (Professeur Helmut Lepain de la Bouche, Docteur en médecine, Officier du Mérite Agricole et Commandeur du Mérite une bonne paire de claques)